La mise en œuvre d'un corridor de transit en mer Noire – The black sea grain initiative –, pour permettre l’exportation sécurisé des céréales ukrainiennes s’apparente à une logistique de guerre. Première étape d’un processus difficile semé d’embuches opérationnelles et de mines à la dérive. L'accord signé entre Kiev et Moscou, sous l’égide de l’ONU avec la médiation de la Turquie, ne constitue en effet pas une cessation des hostilités en mer Noire.
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