Les cinq grives retrouvées mortes le 27 février sur le pont d’un ferry de la SNCM n’étaient pas porteuses du virus de la grippe aviaire, expliquait le préfecture des Bouches du Rhone, deux jours plus tard. Par précaution, les 450 passagers qui effectuaient la traversée Tunis-Marseille furent "confinés" à l’intérieur du ferry après la découverte des oiseaux morts. "Il n’est pas inhabituel en cette saison de migration que des oiseaux meurent d’épuisement sur les ponts de nos navires...
Cet article est réservé aux abonnés. Le contenu de ce site est le fruit du travail de la rédaction pour délivrer une information de qualité et exclusive. Cette mobilisation a un coût et est financée par le revenu généré par la publicité et l'abonnement. En vous abonnant, vous contribuez à cette chaîne de valeur et assurer la pérennité de notre média. Découvrez nos offres.
Déjà abonné ? Identifiez-vous