Légitimés par le fait que sept Français sur dix et neuf travailleurs sur dix se disent opposés au projet de réforme, les représentants de huit syndicats ont indiqué, dans un communiqué commun, qu'ils étaient prêts à durcir le mouvement. La Fédération nationale de ports et docks CGT appelle de son côté à 24 heures d’arrêt le 16 février. Les syndicats menacent en outre de mettre « la France à l’arrêt » le 7 mars.